Penny et flotte

Bonjour j'ai deux questions qui me pose souci:

-Si j'incline penny et que mon adversaire n'a pas de carte en main il peux quand même choisir de défausser zéro carte?

-Le passif des flotte qui dit que lorsqu'un un adversaire joue un agenda on réduit le coût de 3, est ce que la flotte voit son coût réduit durant le setup?

Merci d'avance

1) oui, il peut défausser 0.
2) non ca ne marche pas au setup.

Merci beaucoup

Cellendhyll a écrit:

-Le passif des flotte qui dit que lorsqu'un un adversaire joue un agenda on réduit le coût de 3, est ce que la flotte voit son coût réduit durant le setup?

Merci d'avance

Jaelrn a écrit:

2) non ca ne marche pas au setup.

Pourquoi Jaelen ?, au setup il a déclaré son agenda donc l'effet devrai marcher....

Les cartes n'ont pas de texte au setup ^^

C'est pas faux, j'avais zappé xd !

Et surtout, le texte dit « réduisez de 3 le coût pour jouer ... » et les cartes ne sont pas jouées au setup (d'où l'erratum sur la faction neutre qui dit que la réduction s'applique aussi à la mise en place).

Euh Jaelen, tu es sûr que l'adversaire peut défausser 0 Cartes?
Il est dit sur la carte de penny que l'adversaire engage un personnage soit défausse une carte a la place.

défausser 0 carte n'est pas défaussé 1 carte.Si il ne peut pas le faire, il engage le personnage.

CA me semblait si logique tout ça, je me trompait?

C'est mal rulé, comme le navré avant. Maintenant le navré tu es obligé de faire un choix possible (tu peu pas choisir de ayer si t'as pas de sous. Avec Penny le mec peut choisir de défausser même aec Orage moqueur redressé, c'est dire à quel point c'est débile le ruling

Le wording est différent : Penny demande à l'adversaire de faire un choix, alors que Le Livre Blanc (exemple sans erratum du nouveau wording du Navré) demande de faire une chose ou une autre (incliner un Garde Royal ou défausser un pouvoir de sa maison). Dans le premier cas, il n'y a pas besoin de choisir un truc faisable (comme on peut choisir de redresser un personnage déjà redressé). Dans le deuxième cas, l'une des deux choses doit impérativement être faite (sauf évidemment si aucune des deux n'est faisable).