Ce matin et ce midi, j'ai réfléchi (si si !) à ces histoires de comme si qui me perturbent.
- Le Robert Barathéon (KotS) permet de jouer un event de la défausse *comme s'il était joué de la main*, et est donc bloqué par Peur de l'Hiver.
- Même chose pour les Plans de Mélisandre: une carte jouée depuis la défausse compte dans la limite pour la Peur
- Il avait été dit je ne sais plus où que les events sortis de l'ombre n'allaient pas sous le deck quand on avait un bûcher des faux dieux en jeu.
- Quand un mestre se fait blanchir ("as if its printed text box was blank"), on considère qu'il a toujours le trait mestre imprimé.
Je n'arrive pas à saisir la cohérence de l'affaire. Dans les deux premiers cas, la carte n'est pas jouée de la main, mais le "comme si" prend le pas: on traite la carte en tous points comme si elle était jouée de la main.
Or, dans le cas 4, on ne fait pas "comme si" la boîte de texte était vide, puisqu'on considère que le trait imprimé y est toujours.
Dans un cas, "comme si" prend le pas sur la réalité, dans l'autre non: comment cela s'explique-t-il ?