Yop, j’ai finalement récupéré de mon week-end trônistique en Allemagne, du coup je peux vous écrire un petit CR.
A la base je voulais faire un truc le vendredi soir, mais les éléments ce sont ligués contre moi, avec 2 avions annulés et un train en retard (ça arrive même en Allemagne) et je suis finalement arrivé sur place à 22h30, pendant le draft. Au moins ca m’as donné le temps d’écrire ma decklist pour le lendemain. Ensuite je vais boire des bières pour oublier mes déboires (quel poète…).
Samedi :
Pour la joute je joue mon Martell 3A moisi. Je dis moisi car je ne joue pas blocus/peur/règne. A la place j’ai un jeu un peu plus lent et plus cher, mais avec plus d’effet de contrôle, genre Mines de fer et Promesses alléchante.
Ronde 1 : Un espagnol qui joue Barath.
Après avoir tapé sur la table et chanté une chanson à la gloire de Walder Frei, mon adversaire me sort un Stannis avec un doublon et un garde du corps. Ca n’aurait pas été un problème si je n’avais pas retiré mon seul Lord du deck une semaine avant et si jàavais pioché au moins un effet de contrôle. Mais je n’ai pioché que des persos… Conclusion je ne peux jamais défendre contre Stannis et ses potes et me fait rouler dessus. Ca commence bien.
0-1 Mode Sous-marin ON
Ronde 2 : Un tchèque qui joue Greyjoy.
Au premier tour il a 2 vaisseaux éclaireurs et un Wex Pyk. Comme vous le voyez il y a eu un thème à mon tournoi. Heureusement je choppe vite un climbing spike et une mine de fer pour sauver Val de Valar. A partir de là ça va beaucoup mieux et l’emporte facilement. En plus je lui fais le coup de j’ai 1 de thune et fais Val, oh Darkstar, mince je ne peux pas le payer, mais il arrive en jeu quand même.
1-1
Ronde 3 : Une espagnole qui joue Martell.
Ma charmante adversaire a essayé de me déconcentré toute la partie en se penchant en avant a chaque fois qu’elle lisait mes cartes, mais je suis resté de marbre, même quand j’ai passé une promesse alléchante sur un mercenaire du sud (de dieu si c’est bon !). Du coup elle est obligée de faire Valar sans main et paf pastèque.
2-1
Ronde 4 : Un allemand qui joue Lanni.
Pas grand-chose a faire pour moi, tout ses effets d’incli sortent bien, il a 3 mines, bref je suis tout incliné et ne peux jamais défendre pour changer…
2-2 Mode Survie ON
Ronde 5 : Je ne me rappelle pas trop, je crois qu’il jouait Stark 6A.
Je ne me rappelle pas trop de la partie, a part que je me chantais Eye of the Tiger en continu dans la tête pendant la partie. Au final je gagne sur un rush au mercenaires du Sud je crois.
3-2
Ronde 6 : Un finlandais qui joue Barath été.
Il me donne de la thune avec son été ce qui contre-balance le cout un peu plus élevé de mon deck. En gros c’est la foire aux Wildling horde. Avec ca plus 2 cyvasse, 2 sables brûlants et une sauvegarde annullée je lui roule dessus.
4-2 Qualification en vue ?
Ronde 7 : Un espagnol qui joue Barath asshai.
Je fais un super set-up et lui un tout moisi, mais la on nous dit qu’il y a un souci sur les pairings et qu’il faut arrêter. Après vérification mon adversaire était le bon et je refais un bon set-up (heureusement pour mirgwael). Je fais bien attention à ne jamais le laisser passer un intrigue pour empêcher ses effets de contrôle. Du coup je fais une victoire facile… Ouf !
5-2 Top 16.
Ronde 8 : Un espagnol qui joue Barath.
Il fait un gros set-up et fais fear of winter en premier. Il arrive a passer son intrigue et la c’est le drame… cyvasse et burnings sands à la défausse… Je fais de mon mieux pour le limiter mais tour 3 il joue Guider les masses et seul mes uniques (Syrio et val) peuvent défendre… Du coup Renly et Robert prennent val des deux cotés pour l’exemple et mon trounoi s’arrête brusquement… snif. Mais bon, je me console en me disant que 12ème ce n’est pas si moisi surtout quand on n’a pas de méta pour s’entrainer.
L’avantage de finir vite aussi c’est que je peux me greffer un Highlander avec le deck Barath de Madmojo. Je fais une seule victoire mais je rigole bien. J’ai même réussi a faire un set-up moisi en frêres ennemis
Dimanche :
Après 4 heures de sommeil je fais mon deck Martell-Fraternité sur mon lit à l’arrache. Pour l’accompagné j’ai mon deck Lanni-Tyrion-Ombre. Mad à un Barath rush et un Targ dithraki-burn et Bolzano son Stark-ombre et un Greyjoy-Prophète noyé (respect). A nous trois nous sommes les Fidèles du Prince.
Ronde 1 : Des allemands
Mon premier adversaire joue stark siège et moi j’ai mon martell. La partie est simple. Tour un Saison de recrutement. Je vais chercher Beric et lui le Silure. Je mets une soif de sang à Beric. Il tue tout le reste. Tour 2 Valar et je pioche avec un vaurien. Tour 3 Aux lances et je pose une vipère doublonnée. Embalé c’est pesé.
La deuxième partie est plus tendue. Il joue un Targ contrôle colline-ombre et me dégage mon Tyrion avec la colline d’Aegon au premier tour alors que j’en ai un dans l’ombre. Il prends rapidement l’avantage du fait de son port-réal. Et la le miracle s’accomplit à nouveau, CHAINE DE TYRION. Je la mets sur port-real et le neutralise completement. Du coup je remonte la pente et gagne à l’usure.
De son côté Bolayon a tout perdu et Mad a fait une victoire et une défaite et a failli tué son adversaire qui jouais le deck le plus chiant de l’histoire du TdF.
Ronde 2 : Encore des teutons
Ma première partie est contre un gars qui joue aussi le deck le plus chiant de l’histoire du trône de fer
, a savoir GJ 6A-Meule j’utilise mes grosses armées pour me défendre et quand tu n’as plus de deck je te demande si tu concède. Mais Béric le fume un 3 tour.
Deuxième partie contre un Stark kill. Je pioche plus, j’incline plus, je kill plus, bref je gagne plus.
De leur côté les deux autres ont tout gagné aussi ! Même Bolzano avec le GJ contre un Barath rush. Respect !
Ce qui nous fait un total de 45 points et on fini 2ème. Du coup Mad est double-vice champion. Gloire à lui.
Le reste de la journée je fais du tourisme avant d’aller manger avec les ritals et de revenir faire des partie. A noter que le soir j’ai fait 6 partie avec mon Martell-Fraternité (z compris une contre un Targ Legacy Highlander) et que je les ai toutes gagnées… J’aurai du jouer ça pour le main-event.
Voilà c’est tout pour mes aventures à Stahleck, en espèrant qu’on sera encore plus nombreux l’année prochaine.